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Rêves partagés AN23/Shared dreams YEAR23

 


 

Solstice d’hiver/Winter solstice

Hémisphère nord/North hemisphere

Nuit du jeudi 21 au vendredi 22 décembre 2023
Night of the 21st to the 22 nd of December 2023

Le solstice d'hiver 2023 sera pour le vendredi 22 décembre à 4 H 27 heure de Paris

Quels rituels autour du solstice d'hiver ?

  1. La date du solstice d'hiver marque le début de l'hiver astronomique, et il est un repère dans les sociétés pour délimiter les moments forts du calendrier et des saisons. Les solstices ont donc été célébrés par de nombreuses civilisations, de l'Egypte antique aux sociétés chrétiennes. On remarque par exemple qu'en Europe, la célébration de Noël correspond, à quelques heures près, au moment de l'année où l'hémisphère nord entre dans l'hiver.Dans "Noël : Une si longue histoire", les historiens Alain Cabantous (Paris-I) et François Walter (université de Genève) s'arrêtent sur un solstice d'hiver considéré comme le jour de naissance du "soleil invaincu", où la lumière diurne se remet à croître. Pour les auteurs, le solstice est en effet porteur d'un "symbolisme cosmique" chez les chrétiens : il devient ainsi pour eux "le jour où naît le "vrai" soleil de justice identifié au Christ".
    A vrai dire, la chrétienté s'est appuyée sur une fête païenne, qui existait bien avant que l'on ne célèbre la venue au monde du Christ. Noël tire son étymologie du latin Natalis dies (jour de la naissance), qui désignait en Occident le moment à partir duquel les jours se rallongent à nouveau. 
  2. La fête païenne dont se sont inspirés les chrétiens correspond aux Saturnales, ces célébrations en l'honneur du dieu romain des semailles et de la fertilité : Saturne. Pratiquées dans la Rome Antique, les festivités s'étalent alors sur sept jours, du 17 au 24 décembre. Les romains se rassemblaient en famille ou entre amis, parmi la végétation et les guirlandes, et se faisaient mutuellement cadeau de figurines faites de pain ou de terre cuite. La tunique des pauvres et des esclaves se substituait à la toge habituelle. Quand Jules César réforme le calendrier lunaire, le calendrier solaire "julien" le remplace. Et le solstice d'hiver se retrouve improprement fixé au 25 décembre (alors qu'il a lieu le 21 ou le 22 !). L'esprit de fête, lui, est bel et bien resté et a traversé les âges. Quand on vous dit qu'il y a des raisons de se réjouir...

Yule, la fête du solstice d'hiver

Aujourd'hui, on ne célèbre presque plus le solstice d'hiver. Comme l'explique Slate, l'introduction de Noël le 25 décembre par le christianisme a en effet contribué à la disparition de certains rites païens qui avaient traditionnellement lieu ce même mois, dont la fête de Yule, qui marquait chez les peuples germaniques le solstice d'hiver et donc l'arrivée de cette saison des neiges. Cette célébration était ainsi une fête de la lumière puisqu'à partir du solstice d'hiver, les jours commencent à se rallonger. Concrètement, les personnes qui célèbrent aujourd'hui encore la fête de Yule allument des bougies, font des feux, vont ramasser des choses dans la nature, fabriquent des couronnes et s'offrent des cadeaux, le plus souvent faits à la main.


 

 

 

 

Voir le fichier SOLSTICES

La carte du ciel

 

Rappel des Rêves planétaires antérieurs

Voir WIKIPEDIA

1982 : "Le Monde onirique"
1990 : "Rêver pour la Terre"
1996 : "La loi"
1997 : "Le rassemblement"
1998 : "Le vol (la transcendance)"
1999 : "Mort et renaissance"
2000 : "L'alternative"
2001 : "Radiance"
2002 : "La Voie, se fier à ses rêves"
2003 : "La paix"
2004 : "Le réchauffement climatique (l'effet de serre)"
2005 : "Le cri de la Terre"
2006 : "Rêver à l'échelle planétaire"
2007 : "Rêver sans frontières"
2008 : "Faire passer le social avant l'ego"
2009 : "Retour au Temps du Rêve et cauchemar climatique"
2010 : "Rêver ensemble"
2011 : "La clairvoyance (de la chouette)"
2012 : "Fin d'un et/ou du monde ?"
2013 : "Rêver librement ensemble, dans le respect de nos différences"
2014 : "La forêt : zone à défendre"
2015 : "Imagine (en rêve) un autre monde"
2016 : "Rendez-vous sur la planète B."
2017 : "Rêver librement ensemble."
2018 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Pour survivre sur le Terre : affronter & résoudre le cauchemar planétaire"
"Rendez-vous sur la planète Onirie"
2019 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Collapsologie - Solidarité - Evasion"
2020 - Au choix :
"Rêver librement ensemble"
"Rêver du coronavirus pour l'année 2021"

THÈMES D’INCUBATION


PAR DÉFAUT

RÊVER LIBREMENT ENSEMBLE

Le simple partage de nos rêves

autour du solstice d'hiver 2023

Peinture aborigène (by Edna Watson) représentant un camp autour duquel les individus se retrouvent et se réconcilient (mains se rejoignant autour de la Terre et du Feu).

Publié le 12 janvier 2009 par Aurélia et Michaël

 

Le Temps du Rêve

didjeridoo en musique de fond

 

?

INCUBATION

Deux thèmes proposés

 

• CONFLIT EST-OUEST :

pour un monde multipolaire

cessez-le-feu & négociations

 

 

 

Le drapeau blanc est un signe international de paix, de trêve, de négociation d'un belligérant.

Ce drapeau est typiquement employé en période de guerre ; des soldats portant ou agitant un drapeau blanc ne doivent pas être attaqués. Il indique à tous qu'un négociateur s'approche désarmé ou a l'intention de se rendre.

On attend d'une personne portant le drapeau blanc qu'elle reste neutre et ne s'engage pas dans des actes guerriers.

• RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Coopérer ou périr

 

https://news.un.org/fr/story/2022/11/1129562

« Porte de l’enfer » : le patron de l’ONU va-t-il trop fort sur le climat ?

COP28 : le chef de l'ONU exhorte à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles

Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a exhorté lundi les négociateurs à la COP28 à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles, estimant que « le moment est venu de faire preuve d'une ambition maximale et d'une flexibilité maximale ».

 


8 décembre 2023

https://reporterre.net

 

COP28 : le chef de l'ONU exhorte à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles

Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a exhorté lundi les négociateurs à la COP28 à conclure un accord sur l'élimination progressive des combustibles fossiles, estimant que « le moment est venu de faire preuve d'une ambition maximale et d'une flexibilité maximale ».

   

« Effondrement », « ébullition », « portes de l’enfer »... Le Secrétaire général des Nations unies emploie un vocabulaire dramatique pour parler du climat. Un choix contesté par certains, mais plusieurs médias changent aussi leur langage sur le sujet.

Addicte aux énergies fossiles, l’humanité a « ouvert les portes de l’enfer ». Tel est du moins le réquisitoire dressé, en septembre, par le Secrétaire général de l’ONU. Les envolées dramatiques d’Antonio Guterres ne surprennent plus personne. À chaque nouvelle apparition, le M. Climat de la diplomatie internationale use d’adjectifs toujours plus alarmants quant au sort de la planète. Pas plus tard que le 30 novembre, à peine foulé le paillasson de la COP28, le diplomate portugais a mis en garde qui voudrait bien l’écouter de « la catastrophe totale » pointant le bout de son nez.

Alors que penser de ces remontrances ? Au sein de la communauté scientifique, certaines voix s’élèvent pour nuancer les propos du patron de l’ONU. « Je dois avouer que parfois son vocabulaire m’interroge, souffle Jean Jouzel. L’urgence est là, c’est indéniable, mais il n’y a pas vraiment matière à parler d’ébullition. » Ce paléoclimatologue fait ici référence à une déclaration d’Antonio Guterres, prononcée à l’heure des chaleurs extrêmes du mois de juillet : « L’ère du réchauffement climatique est terminée. Place à l’ère de l’ébullition mondiale. »

L’expression anglophone « climate breakdown », traduite en français par « effondrement » ou « bascule climatique », chagrine aussi. Et pour cause : elle ne renverrait à aucune preuve établie. En septembre 2018, le patron des Nations unies proclamait par ailleurs que les humains avaient deux ans pour agir, face à une « menace existentielle directe »« Mettre des deadlines, déclarer que dans X années il sera trop tard… Cela n’a vraiment aucun sens », dit Olivier Hamant, biologiste et directeur de recherche à l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement).

 

« Ces gesticulations ne servent à rien »

Aussi critiquable soit son vocable, personne ne retirera à Antonio Guterres sa sincérité, assure Romuald Sciora. Politologue à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), il raconte que le diplomate a saisi toute l’urgence de la crise climatique lorsqu’il dirigeait le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) : « Il n’y a aucune hypocrisie sortant de sa bouche. Ses convictions sont réelles. »

En revanche, le Secrétaire général est parfaitement conscient « du déclin, si ce n’est de la déliquescence » du système multilatéral, poursuit l’expert : « Aujourd’hui, l’ONU est une brindille sur la scène internationale. Elle n’a plus aucune influence décisionnelle, plus aucune influence politique tout court. Alors que reste-t-il à Guterres pour faire entendre sa voix ? » Le changement climatique. D’où la sémantique choc.

Cela a-t-il une quelconque répercussion ? Pas sur les grandes puissances, analyse Amy Dahan, historienne des politiques du changement climatique : « Il n’est pas aux manettes, c’est d’une certaine façon un simple lanceur d’alerte. » Preuve en est la dernière assemblée générale, à laquelle les dirigeants russe, indien, chinois, français et britannique manquaient à l’appel. Sur les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, seul Joe Biden a répondu présent. « Une première, insiste Romuald Sciora. Autant dire que les vociférations de Guterres ne semblent pas déranger. Ne nous leurrons pas, ces gesticulations ne servent à rien. »

Une révolution sémantique

Le porte-voix de l’ONU n’est pas le seul à s’être engagé dans une mutation linguistique plus ou moins prononcée. En mai 2019, le journal britannique The Guardian a acté l’abandon de la notion de « changement climatique » dans ses colonnes, lui préférant celle de « crise climatique ». Quelques mois plus tard, l’Oxford English Dictionary désignait « urgence climatique » mot de l’année. En dix ans, les médias français ont rangé au placard les formes interrogatives empreintes d’un certain climatoscepticisme — « faut-il s’inquiéter du changement climatique ? » — au profit d’une certitude alarmante sur l’état du climat.

Entamer ce virage sémantique était primordial, considère Olivier Hamant. « Se contenter de conserver notre lexique d’antan revenait à s’enferrer dans l’inaction. Les mots colonisent les esprits. » Le biologiste invite à bannir un vocabulaire toxique, relevant du déni, tel que la croissance verte ou le développement durable.

S’il faut retenir une chose des dizaines de travaux produits par la communauté scientifique, c’est que le XXI? siècle sera turbulent, poursuit-il. « Nous quittons la stabilité pour un monde fluctuant, fait de crises sociales, écologiques et géopolitiques. Et cette fluctuation impose d’abandonner les concepts du monde stable dans lequel on vivait, et d’entamer une révolution sémantique. »

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Instructions aux rêveurs

Afin de réussir l’induction du Rêve partagé il est conseillé aux participants de suivre les règles classiques de l’incubation onirique (voir la rubrique «Le rêve d’incubation») durant les trois jours et nuits du Rêve thématique partagé :

1. Au cours de la journée et avant de se coucher, bien s’imprégner de l’appel au Rêve thématique partagé et du support d'incubation choisi personnellement.

2. Juste avant l’endormissement et dans un état de relaxation :

- Penser à se remémorer ses rêves;

- Induire le rêve par une formulation en rapport avec le thème choisi personnellement

3. Au moment du réveil, noter le rêve le plus fidèlement possible, quel que soit son contenu.

- Donner un titre au rêve et le dater (en précisant l'heure du réveil, si possible).

- Indiquer le thème d'incubation choisi, si c'est le cas
- Ajouter si possible vos commentaires, illustrations, bien séparés du récit brut du rêve.

4. Transmettre le récit du rêve dès que possible par courrier électronique : [email protected] (email de l'association Oniros) ou par Facebook Oniros

Avertissement

Nos rêves mettent en scène ce qui occupe notre esprit. Ils se rapportent  à nos préoccupations et soucis personnels du moment. Faute d’une disponibilité psychique suffisante, le travail d’incubation pour introduire dans nos rêves un thème de réflexion extérieur peut se révéler difficile ou même inopérant :  absence de remémoration ou souvenirs de rêves apparemment sans rapport avec le thème d’incubation.
Qu’importe ! Comme aurait dit le baron Pierre de Coubertin, l’important c’est de participer, quelle que soit notre disponibilité du moment et notre compétence personnelle à orienter nos rêves (les incuber).
Comme le Rêve planétaire en donne l'opportunité, ce qui importe pour nous, onirophiles, c’est de partager nos rêves (nos pensées profondes), quels qu’ils soient, comme on partage entre amis nos pensées et nos idées à l’état de veille.

 


Composition du rêve planétaire

Tous les rêves nominatifs seront adressés par email via Facebook Oniros ou [email protected] pour former un journal électronique spécifique, le «Monde onirique» daté du solstice et consultable par tous sur les membres de Facebook Oniros.

N.-B. - Pour assurer la crédibilité du «Rêve planétaire», le rêve induit devra être nominatif (nom réel ou pseudo), daté, avec l’heure (en temps universel), si possible.

 

Le Monde onirique

autour du solstice d'hiver 2023

RÊVES A VENIR

1


1. Roger Ripert

«Perdu en ville»

samedi 23 décembre 2023


Réveil sur les 5 heures
En voiture, en ville, de nuit... Je dis au conducteur (nous sommes 3 personnes dans la voiture) de s'arrêter pour trouver notre chemin. Il y a ce que je crois être un terre-plein et nous nous y arrêtons pour nous garer. Je vais alors pour descendre de la voiture et aller voir le panneau indicateur au coin de la rue...

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1.2 Quelques rosés des prés

Avant.- Réveil sur les 3 heures.

Dans les prés avec des connaissances. Je vois plusieurs taches blanches non loin de nous. En m'approchant de plus près je vois qu'il s'agit bien de petits rosés que je ramasse. «De quoi faire un repas», dis-je !

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Commentaire

Deux rêves très répétitifs...

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Commentaire général sur les Rêves partagés 2023

par Roger Ripert

Par suite de soucis informatiques et de santé, les rêves de cette année 2023 n'ont pratiquement pas été partagés. A noter que les rêveurs semblent ne plus porter d'intérê à la dimension sociale du rêve et la dimension cauchemardesque du conflit est-ouest n'encourage pas à rêver...

Espérons que l'année 2024 soit une meilleure année pour rêver et concrétiser nos rêves, de Paix surtout.

 

 

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