CHITRY MONT SABOT |
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Voir aussi :
FAMILLE DES SALADIN DE MONTMORILLON - -
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Chitry Mont Sabot (CMS)Dénommé aussi Chitry-sous-Mont Sabot *
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Le loup |
La chèvre |
Photos Michel Leconte
Notice du Patrimoine de France- Chapelle Saint-Pierre, dite de Mont Sabot à Neuffontaines (58)
Catégorie : Chapelle
Source : http://www.patrimoine-de-france.org - Inscription aux Monuments historiques de la chapelle de Mont-Sabot - Classement du site du Mont Sabot en 1983 Le 11 mai 1983, le Conseil municipal, présidé par M. Marcel Blandin, donne son accord à la Délégation Régionale de l'Architecture et de l'Environnement pour un classement du site du Mont Sabot "dans les limites qui lui ont été proposées". |
DRAC BourgogneProtection des monuments historiques
La législation distingue deux types d’édifices, les classés et les inscrits : -
sont classés parmi les monuments historiques, en totalité ou en partie,
«les immeubles dont la conservation présente, au point de vue de
l’histoire ou de l’art, un intérêt public». C'est le plus haut niveau
de protection, et concerne l'édifice extérieur, intérieur et ses abords. - le classement s’effectue à un niveau national Le dossier de demande de protection est constitué par les propriétaires demandeurs, puis par les documentalistes recenseurs de la CRMH. Le dossier doit comporter une partie documentaire donnant des renseignements détaillés sur l’édifice (histoire, situation urbanistique, juridique, etc.) et des documents photographiques et cartographiques. La CRMH est chargée, en effet, de l’étude du patrimoine monumental et mobilier susceptible d’être préservé pour son intérêt historique et artistique. Elle peut aussi être sollicitée par un propriétaire d’immeuble ou un tiers comme une collectivité locale ou une association. _ La commission régionale du patrimoine et des sites La commission régionale du
patrimoine et des sites (CRPS) se réunit au moins trois fois par an sur
convocation de son président, le préfet de région. La CRPS de Bourgogne comprend 32 membres. Les membres de droit : - le préfet de région ou son représentant. - un conservateur du patrimoine relevant de la spécialité des monuments historiques. |
Travaux récents de restauration de la chapelle- Restauration du clocher en 1993Délibération du Conseil municipal du 29/6/1993 Restituer au clocher et à la tourelle la couverture d'origine en laves, refaire les enduits et poser un paratonnerre Travaux sous la direction de M. Benezech, architecte des Bâtiments de France, pour un coût estimé à 273 966 F (41 763 €). Financement du projet : - Couverture de la Nef en 2003Délibération du Conseil municipal du 1er avril 2003 3ème tranche de travaux : couverture de la nef [en ardoises et non en lauzes]. Autofinancement de la commune, déduction faite des subventions à demander à la Sauvegade de l'Art Français et à la Camosine [pas de subventions accordées par l'Etat, la région et le département, du fait de la restauration en ardoises et non en laves ?]
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Restauration de la chapelle en 2016-2017Photos RR du 31/10/2016 Cliquer pour agrandir les photos |
Restauration de la chapelle en 2017-2018Photos RR du 4/4/2018 Cliquer pour agrandir les photos |
Travaux terminés et un peu de voirie en sus pour mettre en valeur le site et sa vue imprenable.
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Le clocher et la tourelle en lauzes
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La nef et les chapelles latérales en ardoises (photo de gauche)
Le choeur en lauzes et la sacristie en tuiles plates (photo de droite)
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Photos RR du 29-8-11
Voir le plan de la chapelle ci-dessous
Chapelle de Mont-Sabot
Plan de la chapelle
Construite
sur une butte [380 m], à quelques kilomètres du village de Bazoches, la
chapelle de Mont-Sabot, dédiée à saint Pierre, tient sa silhouette trapue de son origine romane, mais son aspect actuel est dû en grand partie à des remaniements du XVe s. Une corniche à modillons sculpté constitue le seul décor extérieur de cette chapelle, qui a perdu une partie de son charme lors du changement de sa toiture traditionnelle de laves. C'est pour permettre le rétablissement de celle-ci que la Sauvegarde de l'Art Français a versé une aide de 50 000 F en 1994 à la commune de Neuffontaines dont les 128 habitants ont à leur charge l'entretien de trois édifices religieux. G-M. L. in La Sauvegarde de l'Art Français, cahier n° 9, 1996, éd. Picard, Paris, p. 126.
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Orientation de la chapelle |
Vue intérieure de la chapelle
Photo Selma Slort du 29/7/10
ÉGLISE SAINT-PIERRE DE MONTSABOT
Par M. Anfray
«Sur
le territoire de Neuffontaines au sommet d'une colline d'où la vue
s'étend sur les prairies et les monts boisés du Morvan, se dresse une
petite église au milieu d'un bouquet d'arbres. C'est l'ancienne église
Saint-Pierre de Montsabot qui était celle du prieuré de Neuffontaines. M. Anfray, La Cathédrale de Nevers et les églises gothiques du Nivernais, 1964, pp. 105-107. *
Ces figures auraient une origine légendaire : une chèvre poursuivie par
un loup se serait réfugiée dans cette chapelle; comme le loup essayait
d'entrer, les paysans seraient accourus et l'auraient tué. Vocabulaire architectural
La nef (en rose) La nef
est la partie d'une église allant du portail à la croisée du transept
et qui est comprise entre les deux murs latéraux. La nef comprend le
vaisseau central et les éventuels collatéraux (il ne faut pas confondre
«nef» et «vaisseau»). C'est le lieu principal où se tiennent les
fidèles lors des célébrations et des offices. Le mot «nef» signifie au
sens premier «navire». C'est la raison pour laquelle il a été utilisé
pour désigner cette partie de l'église. Le symbole du bateau pour
désigner l'Église renvoie à l'enseignement de Jésus qui s'est souvent
fait à partir d'une barque sur la mer de Galilée, où se trouvaient les
tout premiers apôtres — symbole de l'Église naissante — qui y pêchaient.
Le transept (en gris)
Croisée du transept : en architecture, la croisée est la partie du plan d'une église située à l'intersection du transept et de la nef principale. Oculus ou oeil-de-bœuf : petite baie de mur de forme ronde ou ovale, lucarne. Orle (un) : moulure en filet placée sous l'ove d'un chapiteau. Ove (un) : ornement de chapiteaux et de moulures en forme d'oeuf. "En plein cintre" se dit pour un arc dont la courbe correspond à un demi-cercle : voûte ou arcade en plein cintre de l'art roman, par opposition à arc brisé ou ogive. |
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Façade ouest de la chapelle : l'entrée principale
Photo Selma Slort du 8-9-1995
L'entrée sud de la chapelle
Photo RR du 19/9/10 (lors de la Journée du patrimoine)
La porte en anse de panier a été percée en 1838, comme l'indique la gravure sur la clef d'arc,
sans doute par Perrau (F.P.P. : Fait Par Perrau), le tailleur de pierre de la commune
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Réalisation novatrice à l'époque, la chapelle à fait l'objet d'une illumination par panneaux solaires, inaugurée le 6 juin 1998.
Faute de protection et/ou d'assurance contre le vol *, cette belle illumination nocturne qui rendait à la chapelle son caractère de sentinelle du Morvan n'a malheureusement duré qu'un temps : les panneaux solaires ont été volés * et non remplacés ! Même si elle n'est plus aux normes, l'infrastructure de l'éclairage demeure néanmoins en place. Coût global de l'installation : 189 951 F (environ 29 000 €). Source : copie d'un dépliant de la SIENN, propriété de M. J-P Derlon. * Date du vol inconnue. Aux dernières informations (octobre 2011), une assurance aurait bien été souscrite (la mairie continuant à la payer) mais pas contre le vol. |
Nicole Hernando a reçu les représentants d’ErDF, venus réceptionner le chantier
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La chapelle, le 25/9/2017
Photo Renaud Pellard
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Cliquer pour agrandir la photo Photo Roger Ripert (16/2/2011) |
Cliquer pour agrandir la photo Photo Pierre Péchin (9/10/2017) |
Retable de la chapelle gauche du transept
En haut, à gauche, l'ange porte-écu et, à droite, le chapiteau aux deux blasons et la sculpture de sainte Thérèse. Au centre, tableau de saint Jean-Baptiste devant lequel est posée une sculpture de la vierge Marie. Au premier plan : un tronc articulé et une croix en métal, en 2011, disparus en 2017 !
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Notice du Patrimoine de FranceAutels (2); retables (2) *; tableaux (2) : Vierge à l'Enfant; saint Jean-Baptiste à Neuffontaines (58). * Retable : partie postérieure et décorée d'un autel, qui surmonte, verticalement la table. |
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Ange porte-écu * (et araignées en prime !) Photo Selma Slort - 29-7-2010 La gravure de l'écusson est à présent effacée Il pourrait s'agir du blason des Saladin de Montmorillon, comme le pense M. Michel Marchand, spécialiste en héraldique bourguignonne (lettre du 1/2/2011). Le tableau de saint Jean-Baptiste nous renvoie en effet à Jean-Baptiste Saladin de Montmorillon. Voir : la famille des Saladin de Montmorillon * Chapelle gauche du transept |
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(photo RR du 29-8-11)
Oie (pélican) nourrissant ses petits en relief sur le 2e gradin
Blason de la famille de Vésigneux, à droite du tableau
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(photo RR du 31-7-11)
La Vierge à l'enfant
par Guido Reni
La Vierge à l'Enfant est une copie simplifiée d'une oeuvre, disparue,
de Guido Reni, dont une copie ancienne est conservée au musée du Louvre
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Restauration du tableau Le tableau "la vierge à l'enfant", restauré à l'initiative de la Communauté de Communes de Tannay-Brinon-Corbigny, a retrouvé sa place dans la chapelle du Mont Sabot. Il s'agit d'une copie d'un tableau réalisé par le peintre italien Guido Reni (1575-1642). Cette copie est l'oeuvre d'un peintre nivernais (inconnu) effectuée au 19ème siècle. Voir ci-dessus le tableau original. Voir : https://www.facebook.com/CommuneDeNeuffontaines |
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Saint Michel (rapporté ?)
Support : clef de voûte de la 3e travée de la nef
Photo Michel Leconte, sans date.
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Dauphin et coquilles saint Jacques
Photo Michel Leconte
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Chapiteau au brochet (?) et aux deux coquilles saint Jacques
La coquille de gauche, tournée vers le bas, évoque une chouette (note RR)
Les coquilles renvoient notamment au pèlerinage de Saint Jaques de Compostelle dont le chemin passe tout à côté :
la voie de Vézelay/Saint-Jean-Pied-de-Port. 884 km (par Bourges) ou 923 km (par Nevers), 36 jours de marche.
Photo Selma Slort - 29-7-2010
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La chouette-coquille
(à l'angle du chapiteau aux blasons)
Motif figurant aussi à la brisure (au centre)
du blason des Barbier de Vésigneux (voir ci-dessous)
Photos RR du 16-2-11 (à gauche) et du 31-7-11 (à droite, après l'enlèvement des araignées)
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La chouette-coquille
et un moine (pèlerin) encapuchonné, caché en dessous
© JL DUTHU, Service Patrimoine et inventaire, Région de Bourgogne, 1994
Document conservé au Service Patrimoine et inventaire, Région de Bourgogne
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Coquille saint Jacques et pèlerin caché en dessous,
angle de droite
Photo Renaud Pellard (25/9/2017)
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Coquille saint Jacques et pèlerin caché en dessous,
angle de droite
Photo Pierre Péchin (25/9/2017)
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Coquilles saint Jacques, pèlerins et poisson-brochet
Photo Renaud Pellard, 25/7/2017
Aux angles du chapiteau figurent deux coquilles saint Jacques à l’orientation opposée, celle de gauche (la chouette-coquille) tournée vers le bas et celle de droite tournée vers le haut. Dissimulés sous le chapiteau et les coquilles, deux pèlerins encapuchonnés figurant également les contraires : un pèlerin féminin (conque de gauche) et un pèlerin masculin (conque de droite). Au centre, sur fond circulaire, une représentation d’un poisson-brochet couronné qui se mord la queue, tel l’Ourobouros. Symbolisant l’éternel retour, le cycle d’une évolution refermée sur elle-même, ce motif peut être associé à l’union des contraires figurée par les deux coquilles saint Jacques et les pèlerins : ciel et terre, bien et mal, jour et nuit, masculin et féminin, etc. Note de R. Pellard et R. Ripert |
L'Ourobouros couronné Le serpent c'est l'esprit universel qui anime toute chose, mais qui tout aussi bien tue tout ce qui est, et qui prend toute forme possible. En gros : il est tout et il n'est rien. Cet être, c'est Ourobouros. Ouro veut dire en copte : roi, et ob, c'est le serpent en hébreu. Abraham Eléazar, Donum Dei, Erfurt, 1735 Cf. Alexander Roob, Alchimie & mystique, Taschen, 2009, p. 129 |
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Ange allongé (dormant ?) et végétaux
Sculpture de la tête ressemblant à celle de l'ange porte-écu (voir ci-dessus)
Photo Silma Slort - 29-7-10
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Oie et oisillons *
Photo Silma Slort - 29-7-10
Comme
l'indique M. Michel Marchand, en raison de la symbolique chrétienne on
peut rattacher cette sculpture à celle du pélican nourrissant ses
petits, même si la représentation de l'oiseau, en l'occurrence, ne
montre pas un long bec et une poche extensible.
Cet
oiseau trapu au bec généreux vit dans les zones humides et chaudes. Il
a la particularité de nourrir ses petits en prélevant la nourriture
qu’il a emmagasinée dans une poche membraneuse située sous sa mandibule
inférieure. * Sculpture sur le retable de la chapelle droite. |
Dragon (animal fabuleux) enchaîné sur coquille saint Jacques
Photo Silma Slort - 29-7-10
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L'oreille au chou
Photo Renaud Pellard (25-9-17)
Au pied de l'autel de la chapelle se trouve une dalle funéraire portant une inscription bien difficile à déchiffrer, même par le comte Georges de Soultrait, qui écrit, dans son ouvrage publié en 1875 * : «Dalle funéraire sur laquelle on distingue encore [à l'époque !] quelques lettres minuscules gothiques [quatre mots précédés d'une abréviation ?] et trois écussons, l'un à trois bandes, l'autre parti de trois bandes et d'une fasce, le troisième à une croix.» Un délicat nettoyage de la dalle s'impose après un moulage de l'inscription (effectué le 16/2/2011). * Répertoire archéologique du département de la Nièvre, Paris, Imp. Nationale, pp. 62-63. - L'inscription en lettres minuscules gothiques Photo RR - 15-7-10 Photo Selma Slort - 15-7-10 Photo J-P Derlon, en lumière rasante, du 16-2-11 On pourrait lire (hypothèse de Roger Ripert) : - L'abréviation latine précédant le texte de l'inscription : M. J. C. D. N. : Monumentum Jésus Christus Dominus Noster («Monument à Jésus le Christ notre seigneur ») * - Le texte tronqué : Jour du mois (mios, en latin) mill... Voir : la liste d'abréviations ecclésiastiques Cliquer pour agrandir la photo La dalle funéraire et son inscription, en haut à gauche, Photo RR, 15-7-10
D'autres Barbier de la Brosse ont sans doute été aussi inhumés dans l'église et donc dans ce caveau - comme en témoignent les actes de décès, ainsi que des Barbier de Vésigneux et des Saladin de Montmorillon, comme l'indique l'historien Alexandre Teste : «Le père de Louise [François Saladin de Montmorillon] et sa mère, Anne de l'Hospital, avaient dû être enterrés en l'église de Saint-Pierre-Mont-Sabot, où les Montmorillon avaient droit de sépulture comme seigneurs du Bouchet et de Vignes, car, jusqu'à la Révolution, il y fut dit une messe anniversaire fondée par eux. Il en fut sans doute de même pour les Barbier de Vésigneux, dont Jacqueline, femme de Saladin 1er deMontmorillon descendait, car leurs armes se voient dans la chapelle, du côté de l'épître*** (voir les photos ci-dessous).» (Voir aussi la page du site sur les SALADIN DE MONTMORILLON). RR * Voir la page sur la famille des BARBIER. Sur la dalle, en haut, le blason à une croix, bien visible, pourrait être celui de la famille des Barbier (de Vignes/Vésigneux). ** Juste derrière la pierre tombale de mon grand-oncle Simon Roumier (22-1-1769/18-3-1833), signée par Perrau, le tailleur de pierre (sépulture n° 81). *** Côté de l'épître. Côté droit, vu des fidèles, de l'autel, du chœur où est faite cette lecture. M. Lestrange occupait la première stalle du côté de l'épître (Billy, Introïbo, 1939, p. 109). Extrait de l'acte d'enterrement du 10/7/1769 de dame Marie-Philippe Millin de Tressolles, Mairie de Neuffontaines ( (photo RR du 9/11/10)
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Photo RR du 16-2-11 La dalle funéraire et le déchiffrement de son inscriptionLe 16 février 2011, M. Jean-Pierre Vieren et son épouse* sont venus faire bénévolement un moulage de l'inscription afin d'aider à son déchiffrement. ** Mauvaise nouvelle qui vient épaissir le mystère : comme le montre la photo ci-dessus, la dalle, qui ne comporte pas de rebord sur la droite, a manifestement été coupée et, du même coup, l'inscription tronquée. En outre, la dimension de la dalle n'est que de 1, 64 m de long (elle n'est plus à dimension d'homme) sur 0,90 cm de large. Ce découpage pourrait avoir été fait en 1769, date des travaux au niveau du choeur effectués par Jean Alochon (voir la photo ci-dessous), peut-être pour l'inhumation dans un nouveau caveau, le 10 juillet 1769, de Marie-Philippe Millin de Tressolles, l'épouse de Jacques Barbier de la Brosse. Quoi qu'il en soit, le moulage en plâtre sera prêt dans une quinzaine de jours pour un éventuel déchiffrement de la partie restante de l'inscription... *** * Propriétaires du château de Villaine, à Breugnon, près de Clamecy. ** Ont aussi participé à cette opération : J-P Derlon, J-C Hernando et Roger Ripert. *** Voir ci-dessus l'hypothèse émise. Moulage conservé par l'association Novem fontes. Photo J-P Derlon, 16-2-11
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LES VITRAUX DE LA CHAPELLE- Chapelle du mont Sabot... nouvelle embellie * |