Stéréovision
et rêve lucide



Extrait du livre «Die Verzauberung des Augenblicks» de Jürgen Stock. Le titre est un jeu de mots allemand. On peut le traduire par : ”La Magie de la Vision” ou ”L’Enchantement du Moment”. Il décrit le travail avec des images en 3D afin d'élargir la perception visuelle et extrasensorielle. Et il utilise aussi cette méthode pour induire des rêves lucides.

Die Verzauberung des AugenBlicks. Mit 3- D- Bildern zu erweiterter Wahrnehmung. Par Jürgen Stock
Pour le livre d'occasion, compter 30 € chez Amazon.fr

Gebundene Ausgabe : 163 Seiten
Verlag: Bauer Hermann Verlag (Dezember 1998)
ISBN-10: 3762604967
ISBN-13: 978-3762604969
Größe und/oder Gewicht: 23,2 x 21,2 x 1,8 cm

Dieses Buch ist meiner Meinung nach für alle "kopflastigen", visuell überforderten Menschen ein "Aufrüttelbuch" und genial. Klar kann man sich über die Bilder streiten - zu esoterisch vielleicht ? Ehe wir uns versehen hat uns der Autor schon langsam-Übung für Übung an die "Neue Sicht" herangeführt. Erstmal fasziniert konnte ich nicht mehr aufhören und ...... Was dann kam war eine faszinierende Sicht der Welt die mir immer wieder vor Augen kommt.
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Voici un extrait qui explique le fonctionnement de ces phénomènes au niveau hormonal et neuronal.

L’oeil de la sagesse

L’exposé suivant est basé sur les travaux de Serena Roney-Dougal, qui, avec son oeuvre «Science et Magie», a écrit un livre révolutionnaire *. Au centre de notre cerveau se trouve un organe de la taille approximative d’une cacahouète : l’épiphyse ou glande pinéale. Par les nerfs optiques qui s’étendent profondément dans notre cerveau, cet organe, qui a la forme d’une pomme de pin, est en contact intime avec nos yeux. C’est pourquoi l’épiphyse ou son équivalent dans le système indien des chakras, est appelée le troisième oeil. L’épiphyse a un passé vraiment intéressant : elle est un reliquat du troisième oeil; c'est un organe photosensible, qui, chez les vertébrés primitifs, se trouve sur le vertex et qui - au fil de l’évolution - est lentement descendu vers les régions plus profondes du cerveau. L’épiphyse a un niveau d’activité très élevé. Après les reins, elle est l’organe le plus irrigué par le sang et absorbe de cette façon une quantité maximale de phosphore. Elle est la seule partie du cerveau qui contient de grandes quantités de sérotonine — une substance neurochimique qui joue un rôle dans des phénomènes psychiques étendus — et, en outre, elle produit de la mélatonine, une structure chimique très proche de la sérotonine.
Des recherches ont montré que certaines personnes à capacité médiumnique ont une épiphyse plus grande que la normale.
L’épiphyse possède des caractéristique anatomiques extrêmement intéressantes : elle est unipaire - presque tous les composants du cerveau existent en double - et elle se situe à l’extérieur de la zone d’influence du corps calleux qui relie les hémisphères. A plusieurs titres, l’épiphyse est donc un solitaire; elle se trouve à l’extérieur de la membrane qui protège notre cerveau des substances dangereuses qui circulent dans notre sang. Elle n’est donc pas un élément constitutif du cerveau. Malgré cela, elle a une influence sur tout notre organisme et il n’est pas exagéré d’en parler comme d’une centrale de contrôle-commande. Dans leur description du «ajna-chakra» (le troisième oeil), les yogis indiens utilisent une terminologie similaire. L’épiphyse est aussi en contact avec l’hypophyse qui contrôle un grand nombre de processus biochimiques dans notre organisme. Si après prise de LSD on cherche la présence de cette drogue dans le cerveau, on trouve les concentrations les plus élevées dans l’hypophyse et dans l'épiphyse. Regardons en détail les “enfants“ de l’épiphyse, surtout la sérotonine et la mélatonine.

Sérotonine et mélatonine - Le LSD propre à notre cerveau

La sérotonine et la mélatonine sont des neurotransmetteurs, c’est-à-dire responsables de la transmission des impulsions nerveuses d’une cellule nerveuse à l’autre. Elles ont une structure chimique similaire et contrôlent plusieurs processus physiques et psychiques — du cycle sommeil, jour-nuit, jusqu’aux états psychédéliques-hallucinogènes. La concentration de la sérotonine dans l’épiphyse est 50 fois plus élevée que dans toutes les autres régions du cerveau. La sérotonine peut être convertie par l’épiphyse en un grand nombre d'hallucinogènes puissants. Certaines drogues utilisées pendant des cérémonies religieuses par des tribus sud-américaines montrent une similitude surprenante dans leurs structures chimiques. Nous avons ainsi au milieu de notre cerveau une minuscule usine à drogues capable de nous catapulter dans des états de conscience modifiés. Mais comment ces processus sont-ils activés ? Avant de répondre à cette question, regardons ces connections fascinantes dans un plus ample détail...

Schizophrénie contrôlée

Dans le livre de Jane Roberts, "La Nature de la Réalité Personnelle", Seth, l’entité qui s’exprime à travers elle, parle de l’influence directe de la modification de nos habitudes de sommeil sur notre conscience ordinaire. Ce qui n’est guère surprenant, si l’on sait que nos cycles de sommeil sont contrôlés par la substance psychoactive qu’est la sérotonine. Une modification de nos habitudes de sommeil tendant vers des périodes de sommeil plus courtes a, selon Seth, pour résultat une production élevée de sérotonine précisément. Il est intéressant de mentionner que des schizophrènes souffrent souvent de troubles du sommeil, état dans lequel on trouve aussi les concentrations les plus élevés en sérotonine dans leur épiphyse.
En conclusion, la modification (graduelle) de notre rythme du sommeil nous amène pour ainsi dire vers une espèce de schizophrénie contrôlée. Les états mentaux des personnes schizophrènes et ceux des personnes qui modifient leur état de conscience à l’aide de drogues ou par la méditation ou encore par la stéréovision, ne peuvent pas être tellement différents, à ceci près que les uns peuvent induire cet état à volonté en harmonie avec leur vie quotidienne, et que les autres sont abandonnés involontairement face aux portes ouvertes de leur espace mental. De notre point de vue de la schizophrénie en tant qu’état pathologique, le parcours qui sépare les visions d’un méditant spirituel de celles de cet état pathologique est court mais néanmoins déterminant.
Le fonctionnement de l’épiphyse peut être considéré comme un mécanisme de feedback neuro-hormonal, qui a pour but une régulation anti-stress. Les personnes sensibilisées aux phénomènes paranormaux souffrent souvent d’une instabilité psychique. Dans d’autres cultures, ces personnes apprennent à utiliser leur don exceptionnel pour leur bien et celui des autres, et malgré cela, elles demeurent dans un état psychiquement stable. Dans notre société, on les considère comme folles et on les met en isolement dans des établissements psychiatriques, en fait des prisons. Peut-être parce que ces personnes peuvent nous rapporter des choses totalement incompatibles avec notre monde tout fait ?
La mélatonine, dont la structure chimique est très proche de celle de la sérotonine, est produite par l’épiphyse et se retrouve dans notre rétine. Autre point pour confirmer que les yeux et l’épiphyse sont en interaction. Voici donc que se rencontre dans la rétine, en début de tout processus de vision, une substance hautement psychoactive - bonne nouvelle pour tous les enthousiastes de la stéréovision qui ont en plus un faible pour des techniques de modification de la conscience. Est-il encore surprenant que l’on considère l’épiphyse comme la localisation principale des phénomènes paranormaux et de la perception extrasensorielle ? En plus, la mélatonine contrôle la pigmentation de nos yeux et donc la quantité de lumière qui tombe sur les photorécepteurs de la rétine, qui elle-même contient aussi de la mélatonine. Les magiciens de tous les temps avaient des connaissances concernant ces interactions, et se sont servis de certaines couleurs et lumières dans leurs rituels. La mélatonine a aussi une fonction neuronale et provoque de la fatigue quand il commence à faire noir. Son niveau est le plus élevé 3 à 6 heures après, entre minuit et une heure. C’est la période la plus propice aux perceptions paranormales.

Magiciens, Sorciers, Psychonautes

Dans l’épiphyse ainsi que dans la rétine se trouve une autre catégorie de substances, qui, prise en quantités élevées ont un effet très hallucinogène : les bêta-carbolines. Ces substances ont dans leur structure chimique une similitude étonnante avec des composants de plusieurs plantes à usage rituel. La fonction principale des bêta-carbolines est d’inhiber la destruction de sérotonine et de provoquer une accumulation de cette hormone dans les synapses. Plusieurs de ces bêta-carbolines sont en outre analgésiques parce qu'elles peuvent se lier à des récepteurs d’opiacés du cerveau. Cet ensemble forme une catégorie de substances fascinante.
Des symptômes visuels tels que des éclairs de lumière et des phénomènes similaires se produisant parfois dans la perception paranormale peuvent avoir leur origine dans la rétine, parce que les bêta-carbolines sont présentes en quantité élevée. Après la prise d’hermaline - une bêta-carboline - des modifications électriques peuvent être mesurées dans la rétine avant que l’on puisse constater des modifications de l’équilibre électrique dans le cortex cérébral - surtout une augmentation des ondes alpha et une diminution des ondes bêta.
Dans ce contexte encore un détail excitant : parmi les bêta-carbolines se trouve une hormone qui s’appelle la pinoline, similaire dans sa structure avec l’hermaline et dans sa fonction avec la mélatonine. La prise de pinoline — qui se trouve aussi dans une liane de l’Amazonie utilisée par des chamans [le yagé] — provoque entre outre des visions, des hallucinations vivantes, un état d’inspiration et un degré élevé de la conscience de soi et - j’ose à peine le dire, de difficulté de focalisation visuelle. En travaillant avec des images en 3D, on renverse ce processus : en défocalisant ses yeux, on provoque des processus chimiques dans le cerveau qui peuvent être liés à l’activation de ces neurotransmetteurs. Cela peut être la raison pour laquelle certaines personnes réagissent si fort aux images magiques : des substances qui modifient la conscience sont activées dans le cerveau lors de la pratique de la stéréovision.
Il semble que la science confirme de même que magiciens, sorcières, chamans et autres psychonautes savaient et pratiquaient déjà cela : notre univers est dans ses fondations profondément magique. Et même en procédant rationnellement on atteint tôt ou tard les limites de notre logique et on arrive aux portes de la perception élargie.

Techniques de la vision magique

Introduction

Première étape : détente

L’une des conditions sine qua non de l’apprentissage de la vision magique est la capacité de détendre les muscles oculaires. Pour ce faire, il existe une palette de possibilités. Faites rouler vos yeux. Regardez vers le haut, vers le bas, vers la gauche, vers la droite, bougez les deux yeux dans le sens des aiguilles d’une montre, et puis dans le sens inverse, etc. Nos yeux sont soutenus et en mouvement grâce à la musculature oculaire qui est fortement atrophiée chez la plupart d’entre nous par manque d’exercice. La majeure partie des gens n’utilisent leurs yeux que de façon limitée, rien d’étonnant donc à ce que nos yeux aient perdu beaucoup de leur souplesse.

Deuxième étape : activité

Nos muscles oculaires ne diffèrent en rien des autres muscles de notre corps : l’exercice les rend forts et souples. L’inactivité les atrophie et les raidit au point de réduire la masse musculaire. Après avoir tiré et étiré votre musculature oculaire dans tous les sens, vous êtes sur la voie royale "de la vision extralucide", et vous pouvez passer à l’étape suivante.

Troisième étape : dédoublement

Pour commencer, regardez un objet situé juste devant vous, ensuite portez votre regard vers un objet plus éloigné. Vous ressentirez alors assez vite la capacité qu’ont vos yeux de se fixer sur des points d’éloignement différents. Ce faisant, vous observez quelque chose d’intéressant : alors que vous fixez votre majeur d’une distance d’à peu près 15 cm, tout objet situé derrière votre doigt vous apparaîtra en double. Et c’est précisément ce phénomène qui nous permet la vision stéréoscopique. Le dédoublement que vous venez de constater est anticipé dans ces images magiques et se recompose en image tridimensionnelle lorsque l’on applique la bonne technique du regard. Si vous êtes en mesure de percevoir ce dédoublement, vous êtes en principe capables de percer le mystère du stéréogramme. Dans certains cas, il y a toutefois certains blocages psychologiques à l’apprentissage de la stéréovision. Mais soyez sans crainte, un peu de patience en arrivera à bout !

Quatrième étape : retour au regard de l’enfant

Si vous n’atteignez pas tout de suite la troisième dimension lors de l’observation de l’image, restez calme et détendu. La voie qui vous y mènera vous apportera beaucoup de choses nouvelles et intéressantes sur le fonctionnement de votre sens de la vue. N’oubliez jamais que le chemin est l’objectif en tant que tel, l’expression n’a rien d’éculé ! Plus vous abordez la chose de façon détendue, plus elle sera facile. Laissez les images se produire devant vos yeux comme vous avez laissé se dérouler la vie devant votre regard d’enfant : dans un esprit de légèreté, de jeu, par l’action dans le non-faire. A moins que vous n’ayez de graves difficultés avec vos yeux, la vision stéréoscopique relève de vos facultés naturelles et aptitudes innées. Mais même des personnes affectées de problèmes de vision peuvent toujours voir ces images et profiter de leur effet curatif. Nous en reparlerons plus tard. Si pendant les exercices vous avez des maux de tête, des picotement aux yeux, des larmoiements, faites une pause, détendez-vous et reprenez plus tard. Pour pouvoir voir ces images il ne faut faire aucun effort, pas plus que pour ouvrir les yeux après une bonne nuit de sommeil réparateur afin d’aborder la lumière nouvelle après la longue nuit.

Vision convergente et divergente

Il existe deux techniques fondamentalement différentes de vision stéréoscopique : la vision convergente et la vision divergente. L’expérience montre que la plupart des gens apprennent l’une ou l’autre des techniques avec plus de facilité, et qu’après ce premier succès, ils sont ouverts pour aborder l’autre, parce qu’ils savent désormais où est l’essentiel. Pratiquez la technique qui vous convient le mieux. La deuxième technique suivra aisément. Une fois que vous aurez la maîtrise de la vision magique, vous ne l’oublierez jamais. Au contraire, au fil du temps, vos yeux acquerront une souplesse grandissante et ils relèveront les multiples défis et difficultés de vision avec légèreté et facilité.

Instructions pour une vision magique

Méthode 1 : la technique parallèle (vision divergente)

Le regard des deux yeux est parallèle

a) regardez un objet situé à deux mètres de distance et intercalez l’image entre votre visage et le point visé. La distance entre l’image et vos yeux étant de 30 à 40 cm. La distance exacte est individuelle. Avancez et reculez lentement l’image, l’effet tridimensionnel se produit naturellement. Votre regard perce pratiquement l’image.

b) tenez l’image contre votre nez : elle est floue. Eloignez-la lentement (1 cm par seconde) de votre visage et continuez de focaliser votre regard derrière l’image, à travers celle-ci. Les couleurs acquièrent alors une qualité lumineuse et ensuite vous vous retrouvez dans la troisième dimension.

Méthode 2 : loucher (vision convergente)

La vision des deux yeux se croise

a) tenez votre doigt à mi-distance entre vos yeux et l’image et focalisez votre regard sur la pointe de votre doigt, mais concentrez votre attention "seconde" sur l’image elle-même. Jouez avec la distance doigt/image, et quand vous avez trouvé la bonne position, un objet tridimensionnel vous saute aux yeux.

b) louchez vers la pointe de votre nez tout en tenant l’image à 30 cm de votre visage. Laissez alors revenir lentement la focalisation dans sa position initiale; peu avant l’arrivée au dit point initial, vous êtes dans la troisième dimension. Lors de tous ces exercices, vous devez avoir ceci à l’esprit : plus vous aborderez cela de façon détendue, plus tôt vous entrerez dans le monde caché et secret de la troisième dimension. Ces images doivent tout d’abord vous apporter de la joie, c’est-à-dire que si quelqu’un d’autre voit les images en 3D alors que vous êtes encore en train de vous exercer, ne perdez surtout pas patience, cela vaut la peine, je vous le promets !

Induction de la lucidité dans les rêves

1) Je suppose qu’entre temps vous vous êtes familiarisé avec les deux techniques de vision. Vous pouvez toujours les affiner en travaillant notamment avec la table numéro 20 sur laquelle se trouvent les deux séries de "tatvas", les portes d’entrée aux règnes des éléments. Faites se chevaucher les deux rangées intérieures pour en faire naître une troisième qui brille et étincelle. Une fois familiarisé avec cette étape, passez à la suivante.

2) Faites se chevaucher deux des rangées intérieures de "tatvas" afin que dans la troisième dimension deux rangées apparaissent.

3) Exercez-vous jusqu’à ce que vous puissiez le faire avec toutes les rangées de points, tant avec la vision convergente qu’avec la vision divergente. Lors de la vision divergente, vous rencontrez peut-être certains problèmes, parce que pour certains il est plus difficile de voir plusieurs plans avec cette technique-là. Mais c’est tout de même possible.

4) Cette vision spéciale est aussi appelée "hypersight" (hypervision), ce qui est dû à l’élargissement extrême de la vision magique presque jusque dans l’hyper-espace. A partir de là, nous pouvons décoller; nous passons au psychoactif, comme vous l’aurez certainement remarqué.

5) Appliquez l’hypervision également à la table avec la spirale. La troisième dimension change nettement d’aspect. Passez d’un plan à l’autre, avec une vision convergente, puis divergente, en louchant le plus possible. Ce qui nous amène à l’étape suivante.

6) Après avoir pratiqué ce type d’exercice pendant un certain temps, il se peut que vous voyiez des éclairs ou que des projections de votre propre esprit se manifestent sur le tableau. Observez-les tranquillement et continuez de les regarder dans l’image. Si cela devient trop fort, faites une pause et reprenez plus tard.

7) Pendant que vous êtes dans cet état de transe très suggestible, vous vous dites plusieurs fois avec votre voix intérieure : "Je vais me rappeler mes rêves", et "dans mon prochain rêve je saurai que je rêve." Dans votre état mental du moment, tout ce que vous vous dites imprègne profondément votre esprit. Ce seul exercice, pratiqué pendant plusieurs jours devrait suffire à vous apporter un rêve lucide.

8) Si, pendant que vous regardez l’image, vous vous auto-suggérez plusieurs fois que vous vous souviendrez de cet objet dès qu’il apparaîtra en rêve, il est fort probable que cette image survienne dans un rêve. Vous serez d’abord surpris et vous direz ensuite : mais c’est du rêve !
Réjouissez-vous sans trop vous étonner sans quoi vous vous réveillez. Ce que vous avez connu jusqu’à présent n’est rien à côté de ce qui va suivre !
Pendant que vous dormez, vos yeux font des mouvements importants et spéciaux pendant les phases MOR (Mouvements Oculaires Rapides). La plupart des rêves se produisent au cours de cette phase et la majeure partie des gens réveillés pendant cette phase peuvent rapporter des rêves très animés. Pendant la phase MOR, les yeux dansent et bougent dans toutes les directions, de façon convergente, divergente, à gauche à droite, comme pendant l’exercice de l’hypervision : vers le haut, vers le bas, de façon multiple. Tout cela est provoqué par des activités et des états de conscience du cerveau.
En pratiquant les exercices décrits en état éveillé, nous imitons les mouvements oculaires pendant la phase MOR et relions ces deux états entre eux : nous les imbriquons.
Une autre possibilité d’augmenter la probabilité de rêve lucide se situe pendant la phase d’endormissement : vision convergente puis divergente avec les yeux fermés. Ainsi transposez-vous la position des yeux typique de la phase MOR de l’état d’éveil à l’état de sommeil. Un grand nombre de rêves lucides interviennent tout de suite après l’endormissement. Les deux tiers de mes rêves lucides interviennent immédiatement après l’endormissement. Lors de l’endormissement, essayez d’emmener avec vous l’un des objets des exercices faits antérieurement.
Ce vaste domaine du rêve lucide et de la possibilité d’influencer un rêve lucide à l’aide d’images psychoactives n’a pas encore fait l’objet de beaucoup de recherches. C’est toutefois un domaine de recherche très intéressant qui offre la possibilité de faire oeuvre de pionnier.


Exemples d'images en 3D (stéréogrammes)

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Interactives Pictures Vol. I

 

 

P. 30 (une bouteille)

Extrait de l'ouvrage de Burkhard Riemschneider,

Interactives Pictures Vol. II (English, German and French Edition)

Benedikt Taschen Verlag, Allemagne, nov. 1994

ISBN 3-8228-8852-4

 


* Where Science & Magic Meet : Techniques for Altering States of Conciousness
by Serena Roney-Dougal

A noted parapsychologist offers convincing evidence of psychic ability through her numerous experiments. Examine the techniques used in different esoteric schools for altering states of consciousness from a scientific point of view. An authoritatively written work emphasizes that the psychic arts should be a working, living part of a way of life. As practical as it is spiritual, this will lead you to a oneness with, the universe.

Paperback, 288 pages
Published October 28th 2002 by Vega (first published August 1993)
ISBN 1843331306 (ISBN13: 9781843331308)

 


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